Comme de bien entendu, j’ai pas mal pensé à lui cette semaine.
Mille et une questions : « va-t-il rappeler ? va-t-il sortir une excuse de derrière les fagots (genre j’ai piscine et ma psy me déconseille tout rapport humain) pour qu’on ne se revoit plus jamais ? pense-t-il à moi un peu ? »
Mille et un : « tu ne le connais pas, attends de voir, vous avez passé une très bonne soirée et c’est déjà super, tu verras bien ce que ça donne. et puis, vu comme vous avez fait l’amour, il ne peut que rappeler. »
Il a appelé le soir de noël, à minuit et demi. Je n’ai pas pu répondre.
Il a rappelé ce soir. (Et qu’est-ce que j’aime sa voix grave).
Il a pensé à moi. Il a envie de me revoir. Il a envie de me faire l’amour. Il a besoin de câlins. Moi aussi, ça tombe bien.
Sur mon épaule droite « mon dieu mais il n’en a qu’après ton cul »
Sur mon épaule gauche « moi aussi j’en ai pour son cul, et puis, une histoire ça commence toujours par du cul. » (vieux proverbe de ma grand-mère).
« Je rentre demain à Paris, je t’appelle quand j’arrive et on fait l’amour pour de vrai. »
Oh
oui.
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veinarde... bien sur que les plus belles histoires commencent au lit , non ?
L singulière plurielle a dit…
27 décembre 2008 à 00:21
ça commence souvent dans un crissement de draps...et ensuite ça évolue suivant la chimie,les envies.... Je te le souhaite,en tout cas! (les papillons puis tout le joyeux bordel qu'on a dans le coeur et dans la tête après)
bisous Gros
Anonyme a dit…
27 décembre 2008 à 08:31