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On the road again. Again.


Je crois pas en Dieu mais c'est dommage, parce que si je croyais en lui, je lui rendrais grâce pour des choses aussi essentielles que le chocolat à la crème brulée de Lindt et le coca light.

Et le moment de culture du jour.
Pourquoi en France on lève son majeur pour exprimer son.. désarroi, énervement, rage, tout ça tout ça ? C'est une tradition née des guerres entre Anglais et Français il y a bien longtemps. Les Anglais étaient de très bons archers. Et pour faire le signe de la victoire et exprimer aux Français leur haine, rage, énervement, tout ça tout ça, ils levaient leur index et leur majeur, référence aux archers anglais, qui tiennent leur flèche entre ces deux doigts.
Bref tout ca pour dire que les francais coupaient le majeur des anglais quand ils les chopaient. Comme ca, ils avaient vachement de mal à lancer leurs flèches. Donc quand les Anglais faisait le V avec leur doigt eh bien les Français leur montraient leur majeur pour leur exprimer leur...

Voila voila.

Parce que les chinois disent n'importe quoi

Petites pensées normandes et profondes

Je rêve de cheveux longs. De longs cheveux doux. Vu le rythme auquel mes cheveux poussent, je pense que ça devrait être ok pour 2015... Je le note dans mon agenda^^

Ah, et j'aime les méchants. J'ai honte. C'est con. Et c'est vrai. Merci à Johnny Cash pour son intervention dans ce post. Les garçons "gentils" m'ennuient. Le problème c'est que je suis peut être moi-même une fille "gentille". Hmmm...



Et un petit passage de The great Gatsby de Fitzgerald en bonus :
For a moment, the last sunshine fell with romantic affection upon her glowing face ; her voice compelled me forward breathlessly as I listened - then the glow faded, each light deserting her with lingering regret, like children leaving a pleasant street at dusk.

Hmmmmm...

J'aurais du fermer ma gueule hier soir

Finalement sans blond.

"je ne suis pas prêt à tomber amoureux. Je ne suis pas du tout prêt affectivement. Je vous sens en demande de sérieux. Je ne veux pas m'attacher. Je ne veux pas qu'un déséquilibre se crée de cette façon."

Eh bien, restons en là !

Rock'n'roll hein.

Et pourtant, elle tourne

Je me sens bien.

(J'ai très très très envie de déménager (je ne suis jamais restée si longtemps au même endroit depuis... 5 ans). )

Mais je me sens bien.

Je n'arrive pas à mettre le lecteur exportable de deezer alors pour ceux qui ont la motiv, la chanson de 23h48 : Ryuichi Sakamoto - Forbidden Colours

Bon, au fond de moi, il y a bien sur une petite voix qui demande vicieusement si ça n'est pas le calme avant la tempête, s'il n'y aurait pas un truc qui traine quelque part, auquel je n'aurais pas pensé et qui me briserait le moral.

J'ai peur que ça ne dure pas. Que ça soit un genre d'illusion d'optique de moral.

Mais non, je crois que ça va et que ça pourrait continuer un peu à aller bien.

Peut être même à deux. Peut être même avec un beau blond.

Qui sait ? Le monde devient fou...

Le fin du fin

J'ai toujours du mal à finir mes histoires (de coeur).

Il y a eu Philippe, dit "le meilleur copain dont on est secrètement amoureuse" :
- un an et demi de meilleurs amis
- un changement de morphologie, puis 6 mois de passion
- deux jours de déménagement
- trois ans à chercher à le retrouver (ndlr : lui m'a retrouvée 8 ans après)

Il y a eu Franck, dit "le premier" :
- un coup de foudre
- un an et demi d'amour
- un an de rupture
- deux ans à continuer à l'aimer
- trois ans en convalescence
- le reste pas encore défini ?

Il y a Bob, dit "le coup de coeur de l'automne" qui concrètement n'a pas duré longtemps mais qui laisse une impression beaucoup trop durable dans mon petit cœur.

La seule exception, c'est François, dit "l'abstinent". Lui il a été toute ma vie, tout mon coeur, toute mes pensées, je ne pensais pas pouvoir vivre sans lui, pendant 1 an et demi. Et puis, un jour, ca s'est fini. En un jour. Ca ne pouvait plus continuer, je ne l'aimais plus.

*soupir*

Bah oui, j'aime bien les trilogies

Aujourd'hui il neige. Alors pour rester dans le ton, je me goinfre d'Oreos au chocolat blanc. C'est bon le chocolat blanc. Et non, non, je ne déprime pas pour autant. Ou bien je ne m'en rends pas vraiment compte et c'est mon inconscient qui parle. Enfin, c'est vrai que maintenant qu'on aborde le sujet... c'est pas non plus le bonheur parfait..

STOP ! Est ce qu'il est moralement acceptable de se poser la question de savoir si on "va bien" ?





Oh et puis aujourd'hui mon ophtalmo m'a dit que mes yeux étaient réparés, je vais pouvoir redistribuer mes regards de biche...

Et vous savez de quoi j'ai envie ? D'aller à la mer. En haut d'une falaise. Et de regarder les vagues qui s'écrasent sur la falaise. Avec une main chaude dans ma main. Oh oui oui oui, ca, ca me plairait !

Tropique du Cancer

La musique du dimanche après-midi :



Pour danser en faisant le ménage. (Mon dieu, il faut vraiment que je trouve un homme qui s'occupe de mon ménage, ca devient une question de survie...)

Tiens, et ensuite, faudra que je continue à lire Henri Miller.

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